Biographie
Linda a toujours voulu ressembler à ses rêves,
Linda a toujours voulu ressembler à ses rêves,
Ses lecteurs et ses amis lui demandent depuis longtemps de raconter son incroyable chemin de vie de petite poète provinciale arrivée à Paris comme on arrive sur une autre planète. Ils veulent tout savoir sur les fabuleuses rencontres de ce minuscule électron, plus libre que tous les électrons du monde. De cette Linda catapultée starlette par Lola Mouloudji, une impresario surgie de nulle part, , de Linda mannequin, et, dans le même temps, de Linda écrivain-poète aux multiples prix, invitée partout sur la planète, de Linda Lauréate de l’Académie Française…. C’est tellement inouï, que j’ai voulu élaborer ce site, un peu différemment des sites plus « dans les clous », et dont j’espère qu’il répondra à la curiosité de toutes et de tous. Et c’est vrai, que comme le dit cet article de 2016, que j’ai retrouvé dans les centaines d'archives merveilleuses qu'elle m’a confiées; "Linda a un destin ensoleillé !" qui mérite d'être raconté.
Alexandre Keyland directeur artistique |
Son vrai nom : Linda Bastide. Son nom d’artiste : Linda Vandal. Et plus tard, vers 1964, rebaptisée Jacqueline Vandal au gré du caprice d’une femme metteur en scène qui ne voulait pas de « Linda », l’héroïne du scénario de « La Dérive » s’appelant « Jacquie », Paule Delsol trouvait plus pratique de changer le prénom de « sa vedette »! Et la trop jeune Linda se laisse manipuler sans plus réfléchir !
Linda, la tête dans les étoiles et des ailes aux pieds, écrivain-poète originaire du Sud est une aventurière, un électron libre et rebelle. Née à Narbonne, elle partage sa vie entre le soleil de cette enfance et le beau ciel gris de Montmartre à Paris. Refusant une petite vie de routine dans le métier de « Professeur des Écoles » à laquelle toute une lignée familiale la destinait. Aidée financièrement par sa petite grand-mère, celle-là même qui lui a appris à lire quand elle avait 3 ans, elle s’enfuit bien avant sa majorité et sa personnelle barque de migrante accoste à Montmartre.
Pour tout bagage, 150 poèmes du fameux « Cahier rouge », écrits en cours de géographie, de couture ou de musique et qui seront à l’origine de la publication de son premier recueil « A Cloche-Cœur » récompensé, alors qu’elle n’avait que 18 ans par le Prix des Muses remis par un jury de 9 comédiennes confirmées: (Josette Arno, Michèle Bardollet, Nicole Berger, Mylène Demongeot, Evelyne Ker, Dominique Page, Danick Patisson, Simone Simoncelli, Nadine Tallier – qui deviendra Nadine de Rothschild !
Linda, la tête dans les étoiles et des ailes aux pieds, écrivain-poète originaire du Sud est une aventurière, un électron libre et rebelle. Née à Narbonne, elle partage sa vie entre le soleil de cette enfance et le beau ciel gris de Montmartre à Paris. Refusant une petite vie de routine dans le métier de « Professeur des Écoles » à laquelle toute une lignée familiale la destinait. Aidée financièrement par sa petite grand-mère, celle-là même qui lui a appris à lire quand elle avait 3 ans, elle s’enfuit bien avant sa majorité et sa personnelle barque de migrante accoste à Montmartre.
Pour tout bagage, 150 poèmes du fameux « Cahier rouge », écrits en cours de géographie, de couture ou de musique et qui seront à l’origine de la publication de son premier recueil « A Cloche-Cœur » récompensé, alors qu’elle n’avait que 18 ans par le Prix des Muses remis par un jury de 9 comédiennes confirmées: (Josette Arno, Michèle Bardollet, Nicole Berger, Mylène Demongeot, Evelyne Ker, Dominique Page, Danick Patisson, Simone Simoncelli, Nadine Tallier – qui deviendra Nadine de Rothschild !
Linda dans le cadre, 3 muses devant et Jean Grassin à droite - Prix des Muses
Pour son arrivée, le hasard parisien lui offre un merveilleux cadeau : deux mamans d’adoption et d’importance, qui la protègeront pendant des années, c'est-à-dire jusqu’à ce que toutes deux partent au pays d’Il était une fois… :
La première maman sera Mimi France : quelques jours après, se baladant le nez en l’air et l’air de rien, et prise d’une petite soif, elle la rencontre en haut de l’escalator d’un bar qui lui semble sympa… Elles se sont regardées quelques secondes, ont éclaté de rire, elles se ressemblaient comme 2 goutes d’eau ! Il n’y a pas de hasard ?
Mimi, directrice pendant des années du Moulin Rouge – celle qui a inventé pour les danseuses de French Cancan, les maillots échancrés jusqu’aux fesses et les seins nus – est devenue patronne du restaurant le plus branché des Champs, le Quick-Elysées. Elle y reçoit tout ce que le terre contient de têtes couronnées, d’artistes célèbres de toutes sortes, et les mets tous à la « table de sa fille » au fond à gauche, face à l’avenue Georges V. C’est ainsi que Linda deviendra l’amie, quelquefois « le poussin » de célébrités diverses : Cary Grant ( avec qui, habillée du petit tailleur aux petites coquilles de coton noir faites au crochet par sa grand’mère), elle dormira, sa tête au creux de son épaule, un soir où, grippé, seul à Paris, apeuré comme un enfant malade, il lui demande de rester auprès de lui et de le soigner ! Audrey Hepburn, avec qui elle court chez Repetto, chausseur des étoiles de l’Opéra, qui seul avait des « cyclistes » de danseurs pour le grand pied de la belle, Barbara, Bardot – elle tournera avec sa petite sœur, Mijanou Bardot, qui détestait le cinéma ! – Dalida, Line Renaud, Petula Clark qui chantait « la gadoue » bien avant Jane Birkin, Coccinelle, Régine et tant d’autres…
La première maman sera Mimi France : quelques jours après, se baladant le nez en l’air et l’air de rien, et prise d’une petite soif, elle la rencontre en haut de l’escalator d’un bar qui lui semble sympa… Elles se sont regardées quelques secondes, ont éclaté de rire, elles se ressemblaient comme 2 goutes d’eau ! Il n’y a pas de hasard ?
Mimi, directrice pendant des années du Moulin Rouge – celle qui a inventé pour les danseuses de French Cancan, les maillots échancrés jusqu’aux fesses et les seins nus – est devenue patronne du restaurant le plus branché des Champs, le Quick-Elysées. Elle y reçoit tout ce que le terre contient de têtes couronnées, d’artistes célèbres de toutes sortes, et les mets tous à la « table de sa fille » au fond à gauche, face à l’avenue Georges V. C’est ainsi que Linda deviendra l’amie, quelquefois « le poussin » de célébrités diverses : Cary Grant ( avec qui, habillée du petit tailleur aux petites coquilles de coton noir faites au crochet par sa grand’mère), elle dormira, sa tête au creux de son épaule, un soir où, grippé, seul à Paris, apeuré comme un enfant malade, il lui demande de rester auprès de lui et de le soigner ! Audrey Hepburn, avec qui elle court chez Repetto, chausseur des étoiles de l’Opéra, qui seul avait des « cyclistes » de danseurs pour le grand pied de la belle, Barbara, Bardot – elle tournera avec sa petite sœur, Mijanou Bardot, qui détestait le cinéma ! – Dalida, Line Renaud, Petula Clark qui chantait « la gadoue » bien avant Jane Birkin, Coccinelle, Régine et tant d’autres…
Linda Avec Cary Grant et Audrey Hepburn
Le Quick-Élysées de Mimi France
Mimi est aussi à l’origine de sa petite carrière de "mannequin volant" chez Jacques Esterel, qui lancé par Bardot – il est celui qui a inventé pour elle les doudounes au balcon – Louis Féraud, l’autre couturier du Sud la prend comme « mannequin de cabine ». Jacques Dessange l’engage comme mannequin-coiffure, et le métamorphose en ... Jean Seberg brune. Armand Lanoux, Jean Bruce - OSS117 et Guy des Cars l’encouragent dans l’écriture.
Maillot de bain et chapeau colonial Jacques Esterel
La deuxième maman, Solange Sicard professeur d’art dramatique, professeur entre autres de grandes vedettes de la génération précédente, Signoret – qu’elle a cachée pendant la guerre dans son plafond-grenier – Robert Hossein, Juliette Gréco – a son cours tout près, rue Washington et une jeune fille suisse, Véga Vinci, déjeune souvent chez Mimi. Non, il n’y a pas de hasard ! Véga emmène Linda chez Solange ! Solange invente pour Linda un nom plus clinquant que Bastide : « Tu t’appelleras Vandal, ma fille, ça va bien à tes yeux verts ! » Et pas la peine de discuter !
Chez Solange, Linda rencontre Edith Scob – comédienne de théâtre et Mère supérieure de la série télé « Sœur Thérèse.com » – qui en est encore au stade des cours d’art dramatique. Lola Mouloudji. l’ex épouse du chanteur devenue imprésario, rôde de chez Solange au cours Florent, à la recherche de jeunes talents, et qui prend Linda sous contrat ! Mais sa plus fabuleuse rencontre, qui se transformera en amour fraternel, est celle que Linda fait là, au 76 rue Blanche : José Torrès, l'immense danseur de flamenco classique, migrant de la "Retirada" et devenu directeur de l'Opéra Garnier en quelques pas de claquettes et claquements de castagnettes. Il habite tout près, Place Vintimille, un rez-de-jardin plein d'arbres où Solange et Linda se retrouvent souvent. La grande conférencière Jane Ranay, Membre de la SGDL, Attachée à la Direction du Centre International de Documentation pour la Danse -agrée par l'Unesco lui consacre en 1947, le recueil illustré "Le danseur seul". José le lui l'offrira un jour d'été où il lui "tira les cartes", en lui prédisant un avenir ensoleillé...
Chez Solange, Linda rencontre Edith Scob – comédienne de théâtre et Mère supérieure de la série télé « Sœur Thérèse.com » – qui en est encore au stade des cours d’art dramatique. Lola Mouloudji. l’ex épouse du chanteur devenue imprésario, rôde de chez Solange au cours Florent, à la recherche de jeunes talents, et qui prend Linda sous contrat ! Mais sa plus fabuleuse rencontre, qui se transformera en amour fraternel, est celle que Linda fait là, au 76 rue Blanche : José Torrès, l'immense danseur de flamenco classique, migrant de la "Retirada" et devenu directeur de l'Opéra Garnier en quelques pas de claquettes et claquements de castagnettes. Il habite tout près, Place Vintimille, un rez-de-jardin plein d'arbres où Solange et Linda se retrouvent souvent. La grande conférencière Jane Ranay, Membre de la SGDL, Attachée à la Direction du Centre International de Documentation pour la Danse -agrée par l'Unesco lui consacre en 1947, le recueil illustré "Le danseur seul". José le lui l'offrira un jour d'été où il lui "tira les cartes", en lui prédisant un avenir ensoleillé...
Linda devient comédienne: on lui confie entre autres rôles importants, un 1er rôle en Grèce, un quatrième en Italie, sans oublier le 1er rôle de « la Dérive » et entre les tournages de films, elle s’amuse en posant pour des publicités, ou, en ce temps où il n’y avait pas « d’intermittent du spectacle », en tournant des « panouilles alimentaires » de starlette, figurante anonyme perdue dans des décors inconnus…
Puis quitte le cinéma et devient écrivain: Jacques Prévert, son voisin de Montmartre l’appelle « poussin » lui aussi et, après avoir lu son premier roman, lui présente Guy Authier, le fils d’un de ses amis, devenu éditeur, lui disant : « cela servira à te mettre en haut de la pile, un point c’est tout. S’il le trouve mauvais… On verra s’il aime ! Je lui dirai quand même que moi, oui ! »
Elle retrouve avec joie le chemin quotidien du Quick Élysées de Mimi France, où les rencontres imprévues autour de « sa table » sont autant de merveilleuses surprises : Elle devient la seule « fille » admise dans la bande à René Fallet – qui lui offre « L’Amour Baroque » et fera la préface de ce premier roman « L’Insolence du Lundi, accepté par Authier – André Hardelet – qui lui fait une dédicace coquine de « Lady Long Solo » – André Vers – qui lui dédie « Martel en tête » – Martin Rolland – peintre écrivain qui lui offre « La pipe en sucre » – « Alcatraz Banlieue » – et Armand Lanoux qui lui dessine un bouquet de fleurs en dédicace de « La Tulipe Orageuse »…
Ces 5 là seront de sacrés supporters ! Il est où le Hasard ? Il est où ?
C’est encore Mimi France qui, au cours de petites vacances dans la neige de Beaumanières, lui présente, dans une boîte de nuit super branchée, le roi Albert II et la Reine Fabiola. Elle pousse même le roi à danser avec « sa fille ». Albert qui ayant affirmé en riant « quand je danse, j’ai 1000 pattes » dit à Linda en riant de plus belle et dès les premières mesures d’un cha-cha-cha d’enfer : « Linda, voilà une de mes pattes qui vient de vous marcher sur le pied ! ». Le Prince Jaime de Mora y Aragon, l’enfant terrible de la famille et frère de Fabiola, c’est aussi au Quick Elysées que Linda le rencontre. Il est devenu musicien, chanteur et comédien. Il tombe « fou amoureux » de Linda, la demande en mariage, mais l’électron libre refuse… Et se contente d’une amitié où les deux s’amusent à converser en espagnol
Une anecdote – Mais ceci est une autre histoire, tant mieux ! A travers l’espace et le temps, il y de la magie dans l’existence, si on sait la voir ! – que Linda raconte un jour à « son Jaime ami » : ses ancêtres maternels sont venus de Viscaya, cette province espagnole proche de la frontière et de ses ancêtres paternels venus des Asturies : juifs marranes chassés par la terreur de l’Inquisition d’Isabelle La Catholique et de «Viscaya» leur nom est devenu « Biscaye ». Quant aux Bastide, ce sont aussi les mêmes fuyards, recueillis par le Prince des Asturies dans ses « Bastidas », terres inhospitalières et incultes éloignées du monde, où ils seront en sécurité. Et Jaime lui répond : « Je le sais depuis que je sais votre nom ! » et en riant : « Je suis incollable en histoire de l’Espagne ! Non, je ne suis pas étonné ! Raté ! »
Le siècle nouveau voit Linda Bastide – écrivain et poète aux nombreux romans, recueils de poèmes et Prix français et internationaux – devenue Lauréate de l’Académie Française, et invitée régulièrement aux quatre coins de la planète. Des dizaines de journaux vont la suivre pas à pas, dont la somptueuse Revue Paris-Montmartre, qui se fera toujours l’écho de ses voyages autour du monde : voyages de l’amitié, de « à la recherche du temps retrouvé », du côté de chez Swan ou d’ailleurs, du côté d’où vient le soleil…
C’est début 2002, et en Belgique, que Linda commencera sa route de pèlerin de la poésie.
Chargée par la Société des Poètes français d’organiser des conférences au Sénat, elle y invite Raphaël de Smet, le Conservateur de la bibliothèque Royale de Belgique qui fait une magistrale conférence sur le poète belge Franz Hellens. Elle est en retour invitée plusieurs fois à Bruxelles avec son roman « Le journal immobile d’Eléonore » paru fin 2000 chez l’Harmattan. La Revue Belge Repères lui consacre une magnifique page de présentation sous la plume de Monique Gilson. Et Linda aura l’audace d’écrire au Prince Albert devenu le Roi Albert I, lui rappelant leur lointaine « soirée dansante » au pays d’Il était une fois un cha-cha-cha sous la neige ».
Le Roi lui répondit à peine un mois plus tard, disant qu’il lira son roman avec intérêt ! Ces 3 reliques-là, Linda les a conservées pendant toutes ces années, avec un émerveillement et une émotion toujours aussi intenses.
Le siècle nouveau voit Linda Bastide – écrivain et poète aux nombreux romans, recueils de poèmes et Prix français et internationaux – devenue Lauréate de l’Académie Française, et invitée régulièrement aux quatre coins de la planète. Des dizaines de journaux vont la suivre pas à pas, dont la somptueuse Revue Paris-Montmartre, qui se fera toujours l’écho de ses voyages autour du monde : voyages de l’amitié, de « à la recherche du temps retrouvé », du côté de chez Swan ou d’ailleurs, du côté d’où vient le soleil…
C’est début 2002, et en Belgique, que Linda commencera sa route de pèlerin de la poésie.
Chargée par la Société des Poètes français d’organiser des conférences au Sénat, elle y invite Raphaël de Smet, le Conservateur de la bibliothèque Royale de Belgique qui fait une magistrale conférence sur le poète belge Franz Hellens. Elle est en retour invitée plusieurs fois à Bruxelles avec son roman « Le journal immobile d’Eléonore » paru fin 2000 chez l’Harmattan. La Revue Belge Repères lui consacre une magnifique page de présentation sous la plume de Monique Gilson. Et Linda aura l’audace d’écrire au Prince Albert devenu le Roi Albert I, lui rappelant leur lointaine « soirée dansante » au pays d’Il était une fois un cha-cha-cha sous la neige ».
Le Roi lui répondit à peine un mois plus tard, disant qu’il lira son roman avec intérêt ! Ces 3 reliques-là, Linda les a conservées pendant toutes ces années, avec un émerveillement et une émotion toujours aussi intenses.
A partir de ce premier pas sur ces chemins dont on peut croire qu’ils sont là depuis toujours, attendant la venue de chacun de nous, ce sera dans un désordre logique, et selon la parution et la traduction des ses recueils, que Linda les arpenteras, « le nez en l’air et l’air de rien » comme disait sa grand-mère philosophe, ajoutant « ma fille, chaque jour à minuit, il est trop tard pour aujourd’hui, et trop tôt pour demain ! Alors, va ! Tranquille ! »
Voici un puzzle de la trajectoire littéraire post cinématographique et zigzagante de Linda : Après les voyages en Belgique de 2002, le hasard se mêle dès 2004 de redistribuer les cartes du jeu– et sans que personne ne puisse imaginer jusqu’où il ira – en donnant à Linda l’idée d’un Concours International, calqué sur celui que Jean Cocteau avait inventé, au printemps d’avant sa disparition pour les poètes français. Linda en avait été la lauréate, et Pierre Mac Orlan le lui avait solennellement remis à La Crémaillère de Montmartre.
Parodiant Saint Exupéry, Linda intitule son concours : « Poètes, dessinez-moi Montmartre avec des mots, et que vos amis peintres le disent avec leurs couleurs »… La Nouvelle Pléiade éditera le recueil insolite qui en résultera : « Montmartre raconté par 36 poètes d’aujourd’hui » où Linda a réuni 36 poèmes choisis par un jury prestigieux – le Professeur Israël, André Chedid, François Deguelt… – parmi les 366 textes reçus ! Lui arrivent ainsi, le poème de la roumaine Elisabeta Bogatan, accompagné de « l’oiseau de feu » du peintre Petru Biraù … Encore le hasard ?
En 2006, de courriels en lettres, Eli devient l’amie de Linda et lui propose de traduire et d’éditer, avec sa maison d’éditions Confluente le recueil-promenade « Île-Montagne de la Clape, Vigneron, souviens-toi des marins »
Un, Deux, Trois, Partez !
Linda ira des Carpates Roumaines à la Galice d’ Espagne, reviendra en Roumanie, s’envolera pour la Californie, et des Asturies espagnoles, repartira encore vers Bucarest, se posera à Madrid, oui, le temps va comme il veut…
Voici un puzzle de la trajectoire littéraire post cinématographique et zigzagante de Linda : Après les voyages en Belgique de 2002, le hasard se mêle dès 2004 de redistribuer les cartes du jeu– et sans que personne ne puisse imaginer jusqu’où il ira – en donnant à Linda l’idée d’un Concours International, calqué sur celui que Jean Cocteau avait inventé, au printemps d’avant sa disparition pour les poètes français. Linda en avait été la lauréate, et Pierre Mac Orlan le lui avait solennellement remis à La Crémaillère de Montmartre.
Parodiant Saint Exupéry, Linda intitule son concours : « Poètes, dessinez-moi Montmartre avec des mots, et que vos amis peintres le disent avec leurs couleurs »… La Nouvelle Pléiade éditera le recueil insolite qui en résultera : « Montmartre raconté par 36 poètes d’aujourd’hui » où Linda a réuni 36 poèmes choisis par un jury prestigieux – le Professeur Israël, André Chedid, François Deguelt… – parmi les 366 textes reçus ! Lui arrivent ainsi, le poème de la roumaine Elisabeta Bogatan, accompagné de « l’oiseau de feu » du peintre Petru Biraù … Encore le hasard ?
En 2006, de courriels en lettres, Eli devient l’amie de Linda et lui propose de traduire et d’éditer, avec sa maison d’éditions Confluente le recueil-promenade « Île-Montagne de la Clape, Vigneron, souviens-toi des marins »
Un, Deux, Trois, Partez !
Linda ira des Carpates Roumaines à la Galice d’ Espagne, reviendra en Roumanie, s’envolera pour la Californie, et des Asturies espagnoles, repartira encore vers Bucarest, se posera à Madrid, oui, le temps va comme il veut…
Bibliographie & prix
Lauréate 2013 de l’Académie Française - Membre de la Société des Gens de Lettres - Ambassadeur Culturel Européen à Logroño-La Rioja. Espagne - Ambassadeur Culturel de la République de Montmartre. France - Ambassadeur des poètes français à Petrila- Roumanie - Membre des Poètes Intuitistes - Membre du P.E.N Club et de la Charte des Auteurs - Ex-vice Présidente de la Société des Poètes Français, reconnue d’Utilité Publique - Présidente des Éditions Poètes à vos Plumes - Correspondant de Presse pour le site international lesbavardsdunet.fr
5 Romans
14 Recueils de poèmes
10 Prix littéraires français
8 Prix Internationaux
8 films
14 Recueils de poèmes
10 Prix littéraires français
8 Prix Internationaux
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