Romans & Biographies
75 ans de Silence
75 ANS de SILENCE retrace la vie quotidienne de la famille de mon conjoint dans les camps de concentration, pendant la dernière guerre... Le récit de la rafle des anglais, des américains, Léo Wibo, créateur de Radio Lille, des musiciens et cuisiniers... Un témoignage étonnant des camps selon un point de vue différent et historiquement inédit, richement illustré de toutes les correspondances et cartes postales des familles... Avec ce petit charme, et cette poésie du quotidien au cœur d'une humanité plongée dans la guerre et dans les camps...
une Biographique illustrée
75 ANS DE SILENCE
2022
Un chapitre méconnu de la seconde guerre mondiale
2022
Un chapitre méconnu de la seconde guerre mondiale
Ce récit très personnel (l’histoire des beaux-parents de Linda) s’inscrit dans un chapitre méconnu de la seconde guerre mondiale,1 an avant le Vel Div puis le regroupement de ressortissants anglo-saxons - juifs ou pas- dans des camps de rétention; Ces otages devenaient ainsi une monnaie d’échange entre l’Allemagne nazie et les alliés.
Résumé de l’ouvrage
Après la mort de ses beaux-parents Knobel, Linda Bastide trouve un sac de papier kraft. A l’intérieur se cache un « trésor ramené depuis la détention de 5 ans » des photos, des lettres, des papiers d’identité.
C’est une porte ouverte sur le passé de personnes qu’elle croyait pourtant connaître.
Très vite un devoir de mémoire s’impose à elle. Reconstituer le puzzle d’existences ordinaires dans une époque folle et dangereuse. Ecrire ce qu’elle appelle un « roman biographique » dans une tranche d’Histoire, inépuisable.
Le lecteur apprendra comment des polonais-palestiniens, sujets britanniques, raflés à Paris sont encore « apatrides » en 1962, et comment un bébé de six mois, Bernard devenu son mari, a pu devenir un interné politique, etc...
w.editions-harmattan.fr
Résumé de l’ouvrage
Après la mort de ses beaux-parents Knobel, Linda Bastide trouve un sac de papier kraft. A l’intérieur se cache un « trésor ramené depuis la détention de 5 ans » des photos, des lettres, des papiers d’identité.
C’est une porte ouverte sur le passé de personnes qu’elle croyait pourtant connaître.
Très vite un devoir de mémoire s’impose à elle. Reconstituer le puzzle d’existences ordinaires dans une époque folle et dangereuse. Ecrire ce qu’elle appelle un « roman biographique » dans une tranche d’Histoire, inépuisable.
Le lecteur apprendra comment des polonais-palestiniens, sujets britanniques, raflés à Paris sont encore « apatrides » en 1962, et comment un bébé de six mois, Bernard devenu son mari, a pu devenir un interné politique, etc...
w.editions-harmattan.fr
LA FORME DU LIVRE
Ce « 75 ans de silence » est rythmé d’un bout à l’autre
du roman par de précieux vestiges du passé:
- calendriers, sentinelles du temps,
- témoignages sur la vie qui continue: chansons, articles de journaux sur les évènements politiques ou culturels de l’époque.
Ce roman-biographie présente en 350 pages, trois cent cinquante documents originaux de famille et inédits, dont Madame Simone Veil était heureuse qu’ils voient le jour, et que Linda a offerts au musée de la Shoa. Ils ont été exposés sur l’un de ses « Murs » avant d’être rangés précieusement dans les archives, pour nourrir la mémoire collective.
L’auteure Linda Bastide se partage entre Narbonne, la ville de son enfance, et Montmartre son quartier d’adoption depuis plus de 50 ans. Mannequin et comédienne en Italie, en Grèce, en France, jusqu’à arpenter le tapis rouge à Cannes en 1964, entre Catherine Deneuve et sa sœur Françoise Dorléac pour un 1er rôle dans La Dérive, prix des Cinéclubs, puis elle retourne à l’Ecriture.
Une Linda qui passe de l’autre côté du miroir
Trois recueils de treize poèmes, traduits en anglais, espagnol, roumain, russe, serbe… En tout, douze Prix de poésie depuis 1962 où elle reçoit le 1er prix Jean Cocteau et 2020, où elle reçoit le prix François-Paul Victor Hugo pour son poème « 13 pas dans le sable ».
Seize œuvres dont quatre romans
-Le 1er « Le journal immobile d’Eléonore » éd l’Harmattan est sélectionné pour le Prix Méditerranée. Citons encore L’insolence du lundi (Ed. Guy Authier 1973) préfacé par René Fallet, «Le côté d’où vient la nuit» et enfin ce dernier roman.
Et sa nomination de Lauréate de l’Académie Française!
Comment commander ce livre?
Pour découvrir et faire découvrir à vos proches ce document précieux,
Vous avez le choix : Fnac, Gibert Joseph,
-Soit sur le site de l’éditeur w.editions-harmattan.fr
Frais de port gratuit
Recherche par le titre de l’ouvrage, ou par le nom de l'auteur.
-Soit auprès d’un libraire auprès de chez vous.
Pour bénéficier des modalités d’expédition de cet ouvrage je vous invite à aller en librairie ou de commander sur le site:
https://www.editions-harmattan.fr/livre-75_ans_de_silence_roman_biographique_linda_bastide-9782343213910-71395.html
Je précise que le livre coûte 28,50 euros
Frais de port à 0,01€ pour les commandes livrées en France
Soit, pour les amis qui peuvent se déplacer, venir jusqu’au domicile de Linda qui serait heureuse de vous recevoir s inviter, les après midis après 15 h au 17 rue Veron, métro Blanche (75018). Nous prendrons le temps d’échanger et de réaliser une dédicace%; et je vous offrirai un marque page personnalisé griffé l’Harmattan . Le règlement du livre peut être effectué en espèces ou en chèque (28,50 Euros).. ou m’envoyer un mail: bastidelinda1@gmail. com
Soit de demander à votre libraire d’effectuer la commande.
Bien évidemment n’hésitez pas à continuer à informer vos amis(es) ou ceux que nous avons en commun, de l’existence de ce livre; à l’aide du message initial descriptif (cf.les 2 pièces jointes) Comptant sur cet élan de solidarité et d’amitié autour de ce livre et remerciements bien sincères à chacun d’entre vous.
Bien cordialement
Linda Bastide
Ce « 75 ans de silence » est rythmé d’un bout à l’autre
du roman par de précieux vestiges du passé:
- calendriers, sentinelles du temps,
- témoignages sur la vie qui continue: chansons, articles de journaux sur les évènements politiques ou culturels de l’époque.
Ce roman-biographie présente en 350 pages, trois cent cinquante documents originaux de famille et inédits, dont Madame Simone Veil était heureuse qu’ils voient le jour, et que Linda a offerts au musée de la Shoa. Ils ont été exposés sur l’un de ses « Murs » avant d’être rangés précieusement dans les archives, pour nourrir la mémoire collective.
L’auteure Linda Bastide se partage entre Narbonne, la ville de son enfance, et Montmartre son quartier d’adoption depuis plus de 50 ans. Mannequin et comédienne en Italie, en Grèce, en France, jusqu’à arpenter le tapis rouge à Cannes en 1964, entre Catherine Deneuve et sa sœur Françoise Dorléac pour un 1er rôle dans La Dérive, prix des Cinéclubs, puis elle retourne à l’Ecriture.
Une Linda qui passe de l’autre côté du miroir
Trois recueils de treize poèmes, traduits en anglais, espagnol, roumain, russe, serbe… En tout, douze Prix de poésie depuis 1962 où elle reçoit le 1er prix Jean Cocteau et 2020, où elle reçoit le prix François-Paul Victor Hugo pour son poème « 13 pas dans le sable ».
Seize œuvres dont quatre romans
-Le 1er « Le journal immobile d’Eléonore » éd l’Harmattan est sélectionné pour le Prix Méditerranée. Citons encore L’insolence du lundi (Ed. Guy Authier 1973) préfacé par René Fallet, «Le côté d’où vient la nuit» et enfin ce dernier roman.
Et sa nomination de Lauréate de l’Académie Française!
Comment commander ce livre?
Pour découvrir et faire découvrir à vos proches ce document précieux,
Vous avez le choix : Fnac, Gibert Joseph,
-Soit sur le site de l’éditeur w.editions-harmattan.fr
Frais de port gratuit
Recherche par le titre de l’ouvrage, ou par le nom de l'auteur.
-Soit auprès d’un libraire auprès de chez vous.
Pour bénéficier des modalités d’expédition de cet ouvrage je vous invite à aller en librairie ou de commander sur le site:
https://www.editions-harmattan.fr/livre-75_ans_de_silence_roman_biographique_linda_bastide-9782343213910-71395.html
Je précise que le livre coûte 28,50 euros
Frais de port à 0,01€ pour les commandes livrées en France
Soit, pour les amis qui peuvent se déplacer, venir jusqu’au domicile de Linda qui serait heureuse de vous recevoir s inviter, les après midis après 15 h au 17 rue Veron, métro Blanche (75018). Nous prendrons le temps d’échanger et de réaliser une dédicace%; et je vous offrirai un marque page personnalisé griffé l’Harmattan . Le règlement du livre peut être effectué en espèces ou en chèque (28,50 Euros).. ou m’envoyer un mail: bastidelinda1@gmail. com
Soit de demander à votre libraire d’effectuer la commande.
Bien évidemment n’hésitez pas à continuer à informer vos amis(es) ou ceux que nous avons en commun, de l’existence de ce livre; à l’aide du message initial descriptif (cf.les 2 pièces jointes) Comptant sur cet élan de solidarité et d’amitié autour de ce livre et remerciements bien sincères à chacun d’entre vous.
Bien cordialement
Linda Bastide
Roman biographique illustré
MARCEL- CHARLES GAICHET - 2010
ou le côté d’où vient le soleil
Roman-biographie de 300 pages et 450 photos
Bourse à la création de la Région Languedoc-Roussillon attribuée par Georges Frêche Livre d’Art illustré , Prix 2010 des Écrivains et Poètes Passeurs de mémoire.
Éditions Nouvelle Pléiade
...Marcel-Charles Gaichet était de ces rares princes, arpenteurs de l’imaginaire que enchantent la vie naturellement, et la perdent par surprise sur la route de nulle part. Avec ce nouveau recueil passeur de mémoire, Linda Bastide fait de ce Peter pan languedocien une figure de légende ... Si le rêve est bien pour lui une réalité seconde, la trajectoire de Marcel-Charles, galopin des garrigues emporté par la tramontane jusqu’aux falaises e la Butte, ne manque pas d’intérêt... Avec tendresse Linda Bastide récolte entre ces pages toutes les facettes du talent éparpillé de l’artiste, grâce à l’aide de ses nombreux amis collectionneurs : ce sont affiches, petites merveilles comme la série d’étiquettes du vin du Château Auris. Voici surtout, à découvrir des centaines de dessins, esquisses et toiles ... Voyageurs solitaires, anges indécis, gitans efflanqués, regards d’enfants tristes de pierrots perdus, oiseaux et ballons y font entendre le chant sans fin de la vraie vie absente...Et quel plaisir de voir dans la vitrine de la petite boutique montmartroise ses splendides marionnettes :impossible pour ceux qui l’ont connue d’oublier cette vitrine du Tuturlu...bien plus qu’une vitrine, , l’envers d’un miroir où se reflétait l’invisible, peuplé d’étranges visages peints aux yeux vivants : divas de porcelaine, fées blanches, femmes-fleurs...poupées stars – Greta, Édith, Mistinguett, Brigitte, Joséphine, Barbara...
Linda Bastide fait passer à travers les trouées du temps le fil indéfectible de la mémoire/ elle tisse un livre d’or de la vie selon Marcel-Charles Gaichet, avec de la poésie plein les doigts, à l’image de et éternel enfant, ce frère d’âme, barbouillé de peinture et de rêves...
Jean Manuel Gabert Rédacteur en Chef de la Revue Paris-Montmartre
Anecdote : Linda rencontre deux amis de Marcel, Cabu à Narbonne au petit salon des artistes de la Place Voltaire, et Volinski qui présidait à Paris, sous les tentes blanches allant de Franklin Roosevelt à la Concorde, le Grand Salon International des Champs Élysées. Elle a offert à chacun une repro du tableau de Marcel : Charles Trenet le fou chantant.
Anecdote : Les 2 Chantal du Clocher de Montmartre sont tombées amoureuses du livre de Linda et dans ce petit caboulot de la Butte, où les murs sont recouverts de toutes les affiches des vendanges, elles ont offert à leur amie une séance de dédicaces et un déjeuner entre vrais copains, déjeuner musical avec Alexandre Keyland le super chanteur de blues et Olive à la guitare. Christian Lebon, chanteur et fils adoptif de Charles Trenet est venu. Olive tient entre ses mains la photo de l’improbable rencontre de Dalida et de Linda chez un ami de Marcel qui fabriquait des ponchos en laine de chèvre, et cela en plein été à Castelnou dans le Sud ! Quelle belle après-midi au Clocher : une petite place a bien sûr été faite aux poupées et aux tableaux de Marcel-Charles ... Nostalgie, nostalgie et total bonheur !
Roman
Linda avec Michou, François Deguelt et René Coll
LE CÔTÉ D’OÙ VIENT LA NUIT – 2006
L’Harmattan
...De Montmartre aux étangs du Sud, du Tuturlu à la Berchère, entre soleil et bougies douces, règne Marcel, prince partout léger, amical et secret. Autour gravitent Marie, Aurélien, Bertho et les autres, solidement liés depuis l’enfance. Dans ce havre magique de La Berchère qui vit avec ses chansons rétros, ses spectacles surréalistes de Michou, ils vont et viennent de la piscine blanche à la gigantesque cheminée, à la petite scène de caf’conc, eux et les estivants dont on ne saura rien que quelques paroles accrochées par le vent ou la musique. Marie dit : « Ne me fais pas le coup du temps qui passe ». Il passe pourtant, même si la vieille horloge ne sait pas ou ne veut pas dire l’heure vraie.
Le temps inexorable pourrait être le héros de ce roman loufoque et tendre, à la construction éclatée, roman illuminé de poésie, ébouriffé comme nos cheveux quand souffle le vent de terre. Un roman porté par le soleil insolent et pudique, face à la fragilité et à la pudeur de personnages dont on ne saura pas si, comme Picasso le chien, ils ont compris « l’essentiel de la vie ». Une histoire que l’on n’oublie pas, le livre refermé, après avoir souvent souri et quelquefois cédé à la mélancolie...
Simone Salgas écrivain-poète
Anecdotes : Au cours des manifestations qui ont eu lieu à la sortie de ce roman, les différents présentateurs ont inséré dans leurs discours des phrases émues et sensibles : en voici deux qui m’ont particulièrement touchée, et qu’ils ont eu la gentillesse de me confier. Je les garde depuis comme un trésor, ce roman dont le titre est peut-être trop « secouant », est aussi le favori de mon éditeur l’Harmattan, dont je sais qu’il aimerait le rééditer… Incroyable, non ?
A Narbonne, le responsable de la Médiathèque : « Le côté d’où vient la nuit » est, en fait, l’autre côté du miroir, et là, derrière, se retrouvent trois témoins d’un même et unique événement. Il y a en effet, trois faces à ce miroir : la vie, l’amour et la mort. D’où la nécessité pour l’auteur d’inventer un langage qui sache rendre compte du hasard qui fait se mélanger et se métamorphoser ces trois paramètres. D’où l’obligation de mettre à l’envers ce qui devrait tout simplement être à l’endroit.
A Paris, au fidèle Café de la Mairie de la Place Saint Sulpice Jean Loup Guérin: "Du côté d’où vient la nuit, le mode d’emploi de la vie a été irrémédiablement perdu. Et , contradictoirement retrouvé, quelque part, où quelqu’un, Dieu peut-être, fait se retrouver les personnages en quête d’eux-mêmes. Quelque part, mort incluse, où il est finalement plus facile de vivre."
L’Harmattan
...De Montmartre aux étangs du Sud, du Tuturlu à la Berchère, entre soleil et bougies douces, règne Marcel, prince partout léger, amical et secret. Autour gravitent Marie, Aurélien, Bertho et les autres, solidement liés depuis l’enfance. Dans ce havre magique de La Berchère qui vit avec ses chansons rétros, ses spectacles surréalistes de Michou, ils vont et viennent de la piscine blanche à la gigantesque cheminée, à la petite scène de caf’conc, eux et les estivants dont on ne saura rien que quelques paroles accrochées par le vent ou la musique. Marie dit : « Ne me fais pas le coup du temps qui passe ». Il passe pourtant, même si la vieille horloge ne sait pas ou ne veut pas dire l’heure vraie.
Le temps inexorable pourrait être le héros de ce roman loufoque et tendre, à la construction éclatée, roman illuminé de poésie, ébouriffé comme nos cheveux quand souffle le vent de terre. Un roman porté par le soleil insolent et pudique, face à la fragilité et à la pudeur de personnages dont on ne saura pas si, comme Picasso le chien, ils ont compris « l’essentiel de la vie ». Une histoire que l’on n’oublie pas, le livre refermé, après avoir souvent souri et quelquefois cédé à la mélancolie...
Simone Salgas écrivain-poète
Anecdotes : Au cours des manifestations qui ont eu lieu à la sortie de ce roman, les différents présentateurs ont inséré dans leurs discours des phrases émues et sensibles : en voici deux qui m’ont particulièrement touchée, et qu’ils ont eu la gentillesse de me confier. Je les garde depuis comme un trésor, ce roman dont le titre est peut-être trop « secouant », est aussi le favori de mon éditeur l’Harmattan, dont je sais qu’il aimerait le rééditer… Incroyable, non ?
A Narbonne, le responsable de la Médiathèque : « Le côté d’où vient la nuit » est, en fait, l’autre côté du miroir, et là, derrière, se retrouvent trois témoins d’un même et unique événement. Il y a en effet, trois faces à ce miroir : la vie, l’amour et la mort. D’où la nécessité pour l’auteur d’inventer un langage qui sache rendre compte du hasard qui fait se mélanger et se métamorphoser ces trois paramètres. D’où l’obligation de mettre à l’envers ce qui devrait tout simplement être à l’endroit.
A Paris, au fidèle Café de la Mairie de la Place Saint Sulpice Jean Loup Guérin: "Du côté d’où vient la nuit, le mode d’emploi de la vie a été irrémédiablement perdu. Et , contradictoirement retrouvé, quelque part, où quelqu’un, Dieu peut-être, fait se retrouver les personnages en quête d’eux-mêmes. Quelque part, mort incluse, où il est finalement plus facile de vivre."
Roman
LE JOURNAL IMMOBILE D’ÉLÉONORE – 2000
L’Harmattan- Collection Écritures
Sélectionné pour le Prix Méditerranée,
Le grand poète Pierre Béarn a soutenu Linda tout au long de son écriture.
La Revue Paris-Montmartre et, la revue Luz y Calor des espagnols de France se font l’écho de la sortie du roman.
Dans la Revue l’Agora de la Société des Poètes Français, Isabelle Normand l’annonce aussi.
Mister Gadget et ses lunettes magiques pose à côté de Linda devant le drapeau du cru Fitou.
Une mystérieuse revue en langue chinoise relate la fête de dédicace au Café Littéraire de la Mairie à Saint-Sulpice…
Dans la rubrique UN LIVRE DE RENCONTRE de la Revue belge REPÈRES, Monique GILSON, poète et journaliste belge, invite ses lecteurs à rencontrer Linda Bastide et son livre.
Anecdote : La Mesnie de Fitou – où se passe le roman – est invitée à Montmartre par Midani, directeur de la Revue P-M et la République de Montmartre. Rencontre festive chez Patachou, et arrosée des bons vins de ce village !
Anecdote : pour être fidèle à son héroïne Eleonore qui teint ses cheveux en bleu, Linda a fait de même, pour cette fête dédicace à Lézignan-Corbières. Elle est ici, dans la rue principale transformée en Salon du livre, entourée de ses amis, Simone Salgas, écrivain-poète narbonnaise, Hubert Beauchamp, journaliste à l'Indépendant, et René Depestre, le haïtien des Corbières, poète-écrivain-essayiste et Prix Goncourt des lycéens.
Simone, Hubert, Linda et René à Lézignan
Roman
CHELSEA HOTEL, JULIEN - 1977
Guy Authier éditeur
Extrait
...Tout a commencé au pont de Brooklyn. Tout, cette impression forte d’entrer dans un rêve magique et vague où j’allais flotter sans pouvoir me raccrocher à rien. Sinon, peut-être à moi-même. J’avais en un instant, en passant le dos bossu du pont, basculé dans un autre univers. De ce côté-ci, l’hallucinante forêt de gratte-ciel, peupliers de pierre, d’acier et de verre, troncs géants dont les branches invisibles se perdaient dans le gris du ciel. Arbres de la démesure, irréels cependant, puisqu’on ne peut reposer sa fatigue au pied d’aucun d’entre eux. Bois de l’éternelle errance...
Deux histoires d’amour et de chagrin, vécues en même temps : rupture et nouvel amour dans le même cœur, est-ce possible ?
Passé, présent habitent ensemble et plus encore, présent et avenir, et aussi ombres et soleils.
Dans le grandiose et monstrueux décor de New-York, du Bronx, de Chelsea, de Harlem. Les personnages tournent là sur une autre planète, dans les années lumières de l’après soixante huit, un film surgi du profond de leur adolescence.
Jacques Prévert.
Roman
L’INSOLENCE DU LUNDI - 1973
UN JEUNE HOMME ET UNE FEMME
Guy Authier éditeur
...A voix basse, sans ces sensibleries qui vous hérissent le poil, sans la traditionnelle mièvrerie du printemps, des fleurs et des petits oiseaux, Linda Bastide nous conte l’amour d’une femme de quarante ans et d’un gosse de dix huit ans. Amour sans issue, mais ni plus, ni moins que les autres. Ces choses-là n’arrivent qu’à nous, jamais au voisin de palier. Ce livre m’a donné à boire et à rêver. Laissez-moi le temps d’une cigarette avant de le refermer. Le temps frêle d’un battement de cœur. Il n’est que cela: un battement de cœur.
René Fallet, écrivain
"Ce roman est l’histoire de ces amours difficiles et cependant merveilleux, découvertes, doutes, certitudes, éblouissements, ombres, entre un enfant ou presque, qui, à dix sept ans, délire, délire, délire jusqu’au bout extrême de ce rêve : aimer une femme de quarante ans.
L’insolence du Lundi surgit aujourd’hui sans rien savoir des vicissitudes de nos vies, venant du pays d’Il était une fois…, fort et fragile, ce pays où le bonheur mêlé de chagrin s’appelle la mélancolie."
Jacques Prévert poète
Anecdotes : Jacques Prévert – son voisin de cette Cité Véron, impasse située à gauche du Moulin Rouge , devenu un ami qu’elle rencontre souvent chez les commerçants de la rue Lepic – et qui est à l’origine de la rencontre de Linda avec ce premier éditeur, Guy Authier, a écrit pour elle, par une petite après-midi où ils bavardaient sur sa terrasse haut perchée, ce petit texte qu’elle a pieusement retapé sur sa machine à écrire , et fort heureusement conservé, car elle a oublié dans quelle revue ils ont été publiés ! ! Elle se souvient… Il lui a dit en riant : « Poussin, tu iras loin ! »
Les écrivains René Fallet et André Vers, ses amis de toujours rencontrés chez Mimi France dans son Quick Élysées mythique, l'entourent toujours affectueusement dès que Linda est invitée pour la moindre séance de dédicaces dans l'une ou l'autre librairie. Sue la photo, ils sont tous les trois à Anthony en Banlieue parisienne dans la librairie d'Hugues Nonn.